Drummondville 2048
Quatuor à cordes et intelligence artificielle
Dans un futur pas si lointain dominé par l’intelligence artificielle, Drummondville s’impose comme métropole futuriste.
Dans une salle de spectacle à mi-chemin entre un théâtre et un vaisseau spatial, des robots, avatars de musiciens et musiciennes, interprètent en concert le 2e mouvement du Quatuor à cordes n° 2, op. 50 de Jacque Hétu devant une assistance également composée de robots. Bienvenue en 2048.
«Par l’interaction entre les musiciens réels et leurs avatars créés par l’IA ainsi que par la fin proposée, j’évoque la réflexion que la créativité demeure humaine, et que l’art généré par l’IA s’adresse encore, peut-être, à d’autres robots.»
Luc Leclerc, Above The Void
Above The Void
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